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Chiens et chats : 180 000 amis dans les Alpes-Maritimes [ Date de publication : 11/10/2011 à 12h06 ] |
Article du Nice-Matin du « Dimanche 09 octobre 2011 »
http://www.nicematin.com/article/cote-dazur/chiens-et-chats-180-000-amis-dans-les-alpes-maritimes
Le département compte un nombre important de compagnons à quatre pattes qui sont aujourd’hui des membres à part entière de la famille. Ils bénéficient de toutes les attentions...
Les chiens et les chats sont des membres à part entière de la famille. « On leur prodigue les mêmes attentions, les mêmes soins... » Ce point de vue recueilli auprès d’un vétérinaire fait l’unanimité dans la profession. Nos amis à quatre pattes font aujourd’hui bien plus que monter la garde ou traquer la souris. Dans un monde qui évolue parfois trop vite, ils jouent un rôle social quand ils ne guérissent pas le stress... Alors que le pays compte 7,6 millions de chiens et 11 millions de chats, combien sont-ils dans le 06 ?
« Il n’existe pas de chiffres précis car aucun comptage n’est fait à l’échelle du département », nous a répondu la société centrale canine qui répertorie les chiens pucés ou tatoués.
Selon le docteur Jean-Claude Proy, notre chroniqueur animalier, on dénombrerait 50 000 chiens à Nice, et près de 100 000 dans toutes les Alpes-Maritimes. Pour les chats, on serait dans une fourchette de 80 000 dans les Alpes-Maritimes, selon les estimations de sociétés dévouées à la cause animale.
100 000 chiens, 80 000 chats, soit 180 000 amis à quatre pattes, autant dire que cela représente un certain poids économique qui se traduit dans les faits par la présence de 180 vétérinaires dans les Alpes-Maritimes où est installée une soixantaine salons de toilettage, une vingtaine de boutiques d’accessoires, onze animaleries, huit pensions, une demi-douzaine d’élevages, etc.
[ Aux petits soins ]
Comme les humains, nos compagnons à quatre pattes bénéficient d’un service médical de garde 24 h sur 24, assurés par les différentes cliniques vétérinaires. En outre, pour soigner les affections les plus graves, ils ont la chance de vivre dans un département équipé d’un scanner alors que certains départements de France n’en ont même pas pour les humains. Il s’agit de celui l’hippodrome de Cagnes, habituellement dévolu aux équidés, mais accessible aux animaux de petite taille. Ils bénéficient eux aussi, et c’est heureux, des progrès de la médecine qui vient de mettre au point tout récemment un vaccin contre une terrible maladie qui sévit sur la Côte, la leishmaniose.
Cadavres de chats découverts à Cimiez ( Nice ) Malveillance ou mort naturelle ? [ Date de publication : 21/09/2011 à 01h09 ] |
Article du Nice-Matin du « Mardi 06 septembre 2011 »
Nelly Hof nourrit les chats libres de son quartier :
« J'attends qu'ils aient mangé pour ne pas laisser traîner de nourriture dans la rue.»
«C'est le 4 e chat que je retrouve inanimé en quelques semaines. Dans le seul secteur du bas Cimiez. Allongé, sans vie. De toute évidence, il ne s'agit pas d'un accident. Ils sont propres, comme endormis.»
Hélène Granouillac, présidente de l'association « Terre Bleue », est inquiète. Elle a saisi les services de l'hygiène de la Ville. «Ils ont envoyé une société pour évacuer le cadavre. » Désormais, elle s'apprête à déposer plainte, et, histoire d'intimider d'éventuels malveillants, elle a placardé des messages dans les rues du quartier. Mais elle s'interroge sur la cause de ces morts. « Il faudrait effectuer des analyses pour savoir», suggère-t-elle.
De l'autre côté de la ville, à Nice-Ouest, c'est Nelly Hof, amie des félins, qui tire la sonnette d'alarme.« En début de semaine, j'en ai trouvé trois, morts. J'ai appelé les pompiers.» Pour elle, la cause des décès ne fait aucun doute.
Il s'agit de malveillance. « Ces chats libres, abandonnés ou nés dans la rue dérangent quelques habitants. Ils ne supportent pas leur présence.»
« Certains mettent des tessons autour de leur propriété et les félins s'éventrent dessus ». Elle a alerté les associations de défense des animaux. Sans succès. Cette nourrisseuse de chats errants s'inquiète aussi d'un grand nombre de disparitions. Sur ses quelque soixante protégés de la rue, une quinzaine manque à l'appel.
« Aussitôt informée des cas recensés à Cimiez, j'ai diligenté une enquête, a expliqué Andrée Alziari-Negre, adjointe en charge de la protection animale. On va également interpeller les services de la Préfecture.» En attendant les résultats, l'élue se veut rassurante.
« L'été est une saison difficile pour les chats errants, les plus faibles souffrent de la chaleur et de déshydratation.» Elle penche donc plutôt pour cette explication : les chats auraient été victimes de la canicule. « Maintenant, s'il y a des cas de maltraitance envers des animaux, les habitants peuvent déposer plainte pour y mettre un terme ».
C'est bien l'intention de Chantal Fontanesi. La présidente de l'association « Justice pour les animaux » espère ainsi que la justice fera toute la lumière sur les disparitions en série. « Nous avons relevé dans toute la ville plus d'une vingtaine d'affichettes de propriétaires à la recherche de leur chat. Il faut que ça cesse ! ».
Cet été, sale temps pour nos amis à quatre pattes ... ( Chats et Chiens / PACA ) [ Date de publication : 27/08/2011 à 02h22 ] |
Article du Nice-Matin du « Vendredi 26 août 2011 »
En attendant une famille qui saura les aimer à nouveau.
Cette année, de nombreux animaux ont encore été abandonnés. « 5% de plus par rapport à l’an dernier » annonce Patrick Villardry, président de la Société de Défense des Animaux et de la Fédération de Protection Animale PACA. à cette augmentation, trois causes : d’abord les vacances. Parce qu’il a beau être mignon toute l’année, Médor devient encombrant au moment de faire les réservations.
Ensuite, la crise ambiante qui fait que de plus en plus de gens ont des difficultés à boucler les fins de mois. Et enfin les propriétaires d’appartements qui semblent mettre un point d’honneur à stipuler dans leurs baux de location que Médor n’est pas le bienvenu. « Attention, prévient Patrick Villardry, aucune loi n’autorise ça. »
Une conjoncture qui fait que les refuges sont saturés et que les animaux errants sont de plus en nombreux. Parce qu’il y a une chose que beaucoup n’ont pas saisie : un animal, c’est pour la vie. Mais un animal, ça donne tellement d’amour et d’affection que, sans aucun doute, ça vaut le coup. Alors, si demain vous décidez de faire entrer une boule de poil dans votre vie ; avant de dépenser des milles et des cent dans une animalerie… Pensez à ceux qui vous attendent derrière les grilles des refuges.
Rendez-vous sur http://www.sda-nice.com ou http://fdpapaca.free.fr/
[ L’animal de vos rêves vous attend au refuge ]
Attablée sous l’auvent de l’accueil, Anna Le Bouzic, responsable du refuge de Carros, explique que les appels pour abandon sont légion : « Chiens et chats confondus, on reçoit une dizaine d’appels par jour et jusqu’à cinquante par semaine. »
Soudain, une des bénévoles qui rentrait chez elle revient en courant : à quelques mètres de l’entrée du refuge, il y a une caisse de transport posée à même le sol, derrière une voiture. Dans cette caisse, un gros chat noir, qui doit se demander ce qu’il fiche ici. Anna Le Bouzic soupire. La preuve par les faits.
[ Le matou ira rejoindre les autres abandonnés après un passage par l’infirmerie. ]
Le énième d’une longue série. Chiens et chats, jeunes ou adultes, petits ou grands. Ils sont des centaines à passer par le refuge de la fondation d’assistance aux animaux. Certains y passeront quelques mois, d’autres toute leur vie.
[ N’hésitez pas à demander conseil }
« Nous sommes archi-complets, lâche Anna. Nous avons 80 chiens et on ne peut pas en mettre un de plus. »
Dans les enclos, Achilles, Indra, Salsa et les autres se jettent sur les grilles dès qu’une tête étrangère passe. Ce n’est pas de l’agressivité. Peut-être juste un moyen de se faire remarquer. Comme un SOS.
Pourtant, Anna est catégorique, « 80% des abandons pourraient être évités » : « Il ne faut pas que les gens hésitent à venir demander des conseils, martèle-t-elle. Quand ils veulent laisser leur animal parce que celui-ci devient insupportable, ils arrivent ici alors qu’ils ont franchi un point de non-retour. Ils veulent abandonner leur animal, point. Ce qu’il faut comprendre, c’est que dans l’immense majorité des cas, le problème de comportement vient d’un mal-être de l’animal. »
Parce que, comme un être humain, notre copain à quatre pattes peut se sentir mal dans ses baskets.
[ Pas que des gens bien ]
Le refuge récupère donc des bébêtes de toutes tailles et de tous âges… Pas toujours faciles à recaser : « Les gens veulent très souvent des petits chiens, détaille Anna, à tel point que je n’en ai plus à proposer. Et il y a aussi une espèce de racisme envers les chats noirs. C’est assez incroyable. »
Des petits chiens donc. Pas très encombrant. Mais prenant tout autant de place dans une vie. Parce que, comme les grands, ils ont besoin de sortir et de se dégourdir les pattes, aussi courtes fussent-elles.
Mais même dans le meilleur des mondes, quand un animal fait craquer une famille, Anna n’est pas sortie de l’auberge : « On se dit que les gens qui viennent ici font une belle démarche et que ce sont des gens bien. C’est faux. J’ai déjà récupéré des chiens que j’avais placés parce qu’ils étaient attachés tout le temps. »
Depuis ces mauvaises expériences, elle exerce un contrôle drastique sur chaque adoption, « quitte à passer pour une folle ». Justificatif de domicile, chèque de caution pour la future castration si l’animal est trop jeune… « Et je tiens à rencontrer tous les membres de la famille, sourit-elle. Le but c’est de trouver une vie de famille au chien. »
Le refuge de Carros est ouvert tous les jours de 14 h à 17 h. Toutes les photos et les renseignements sur
Trois chatons retrouvés à la poubelle ( Nice ) [ Date de publication : 27/08/2011 à 02h31 ] |
Article du Nice-Matin du « Vendredi 26 août 2011 »
http://www.nicematin.com/article/societe/trois-chatons-retrouves-a-la-poubelle
Thierry Bouimoute, vice-président de l'association GALA, prend soin d'un petit rescapé.
La violence entre les êtres humains est intolérable. Mais certains gestes à l'encontre des animaux le sont aussi. Dans la nuit du 18 au 19 août, trois chatons, à peine nés, ont été retrouvés dans une benne à ordures, entre la Corniche de Magnan et celle des Oliviers.
Tout commence aux alentours de 23 h, jeudi. Alors que Cédric Paquet et Thierry Bouimoute, respectivement président et vice-président du Groupe d'action pour l'amour des animaux (GALA) se détendent devant la télévision, un voisin frappe à leur porte. « Il m'a dit qu'il avait entendu des miaulements venant d'une benne à ordures», se souvient Cédric, visiblement choqué.
Ni une ni deux, les trois hommes foncent à ladite poubelle. Et là, stupeur : Cédric entend plusieurs petits miaulements distinctifs. Aucun doute possible : quelqu'un y a jeté des chatons pour s'en débarrasser. Immédiatement Thierry appelle les pompiers (!) qui arrivent sur les lieux en quinze minutes. Mais avant que les sauveteurs arrivent, le trio avait déjà été rejoint par des agents de la police municipale qui faisaient une ronde aux alentours.
C'est en renversant la poubelle et en les extirpant par la trappe, située en dessous de la benne, que les chats sont finalement sauvés. Il s'agit de trois petites boules de poils, visiblement venues au monde quelques heures auparavant. « Ce genre de comportement est inadmissible et doit cesser», s'insurge le président de l'association de défense des animaux GALA. Pour l'heure, Cédric et Thierry s'occupent de leurs trois petits rescapés. « Les deux visites chez le vétérinaire se sont bien passées, ils sont en forme », rassure Thierry Bouim. Une petite femelle a même ouvert les yeux il y a trois jours...
Brignoles ( 83 ) : Des bénévoles sauvent 80 chats menacés d'euthanasie [ Date de publication : 02/08/2011 à 01h42 ] |
Article du Var-Matin du « Lundi 01 août 2011 »
« Ce sont des animaux âgés qui ont manqué de soins », a informé Franck Delorme, bénévole à l’école des chats de Cassis,
ici aux côtés de Sophie Peyronnet, qui leur a ouvert ses portes.
[ L'histoire de ces chats, c'est aussi une aventure humaine, un sauvetage in extremis ]
En dix jours, L'École des chats de Cassis, emmenée par Franck Delorme, l'un des bénévoles, a dû organiser le secours de quatre-vingts félins, vieux et souvent en mauvaise santé, menacés d'euthanasie. Aujourd'hui, la plupart d'entre eux sont recueillis à Brignoles chez Sophie Peyronnet. Pourtant, il y a un mois, la situation était critique.
[ C'était serré ]
Le 20 juin dernier, L'École des chats est appelée à l'aide. À Cassis, une dame, chez qui vivent quatre-vingts chats, doit être expulsée de son logement au 1er juillet.
Accueillie dans sa famille, elle ne peut néanmoins pas prendre ses animaux, qui doivent être euthanasiés. « Nous ne pouvions pas laisser faire ça, raconte Franck Delorme. Mais une dizaine de jours pour sauver ces chats et leur trouver une personne qui accepte de tous les recueillir, c'était serré. » C'est là qu'intervient Sophie Peyronnet. En cessation d'activité pour raison de santé, la Brignolaise tenait une pension de famille pour animaux.
Elle dispose donc de suffisamment d'espace pour recevoir les animaux. « Je n'ai pas longtemps hésité », explique-t-elle.
Dès lors, l'acheminement des bêtes est organisé. Certaines ne survivront pas : « Ce sont des chats qui ont en moyenne douze ou treize ans et dont les plus jeunes ont neuf ans. Pendant le transport, trois sont morts de crise cardiaque », assène Franck Delorme, qui n'en revient toujours pas qu'une telle situation n'ait pu être arrangée plus tôt.
Heureusement, d'autres ont été plus chanceux. Sociabilisés, ils ont été placés en famille d'accueil.
[ Pas sauvages et stérilisés ]
Mais cinquante chats ont tout de même investi les enclos de Sophie Peyronnet, réaménagés puisque normalement destinés aux chiens. Voilà maintenant près d'un mois qu'ils y sont.
« Ils commencent à s'y faire, explique le bénévole de L'École des chats. Ils sont stérilisés et pas trop sauvages, même si certains doivent encore être sociabilisés. » L'urgence étant passée, l'objectif est désormais de soigner ses animaux puis de leur trouver des familles afin « qu'ils finissent leur vie tranquillement ». D'ici là, les bénévoles qui viennent chaque jour s'occuper d'eux auraient bien besoin d'aide, notamment de dons alimentaires et de litière. À bon entendeur !
Savoir +
Pour les dons alimentaires ou de litière, n'hésitez pas à contacter Patricia au 06.69.39.83.80. Si besoin est, elle pourra même se déplacer.
Et si vous voulez adopter l'un des chats, téléphonez à Franck Delorme de L'École des chats de Cassis au 06.48.04.04.08. Notez qu'il ne s'agit pas de chatons en pleine santé, mais d'animaux âgés et souvent abîmés par la vie.
Interruption de la stérilisation des chats errants ( Nice ) [ Date de publication : 30/07/2011 à 01h52 ] |
Article du Nice-Matin du « Vendredi 29 juillet 2011 »
[ Il n’y a plus d’argent pour stériliser les chats errants ]
La ville a dépensé 17.000 € cette année pour lutter contre leur prolifération. L’enveloppe consommée, il faut attendre la rentrée.
Pourquoi tenter de freiner la reproduction des chats errants ? Pour leur éviter une vie peu enviable et parfois des souffrances inutiles.
Maltraités, voire carrément massacrés, les greffiers SDF n’ont pas que des amis dans les quartiers où ils prolifèrent.
Soupçonnés de propager parasites et maladies, ils sont également connus pour aimer la castagne en période de chaleurs. Bref, des riverains n’en peuvent plus qui réclament la reprise des campagnes de stérilisations des matous.
Et ça urge. Car la propension du chat à faire des petits peut donner le tournis. L’adjointe Andrée Alziari-Negre, déléguée à la protection animale, en donne un petit aperçu: «Une femelle peut avoir douze chatons dans l’année à raison de trois portées de quatre petits en moyenne. Soit, au bout de deux ans, une escouade de 144 minous. Au bout de trois ans, un régiment de 1728 affamés. Au bout de quatre ans, une armada de 20 736 abandonnés !»
On pourrait continuer longtemps à ce rythme exponentiel et assez effrayant. Mais l’élue entend en finir : « En stérilisant un mâle et une femelle, on fait deux chats heureux. »
À l’instar de quelques associations de défense des animaux, la ville a lancé, à titre expérimental, une campagne de stérilisation des chats errants. Laquelle aurait permis d’en opérer un millier entre septembre 2010 et juin 2011.
[ Reprise à l’automne ]
Le problème, c’est que l’enveloppe allouée - 17 000 € - a été intégralement consommée. Rien n’est perdu car la délégation d’Andrée Alziari-Negre ne renonce pas à poursuivre son travail. Simplement, elle se heurte à un obstacle juridique : « Nous devons mobiliser un budget d’environ 30 000 €. Ce qui nous contraint à passer par une procédure d’appels d’offres. »
Un marché public sera ouvert à la rentrée pour la reconduction de l’opération. Il faudra patienter jusqu’à l’automne pour que les vétérinaires soient à nouveau mandatés. L’adjointe se veut rassurante : « Ce sont les premières années qui coûtent cher. Nous n’aurons pas toujours besoin d’autant d’argent car la population devrait progressivement diminuer. »
Andrée Alziari-Negre aimerait convaincre les propriétaires de matous de participer à cet effort de salubrité publique. De même que les « nourrisseurs », invités à « capter » les chats errants pour les confier aux bons soins des vétérinaires dès que la campagne aura été relancée.
Collectif italien contre les abandons d'animaux ( pendant l'été 2011 ) [ Date de publication : 24/07/2011 à 01h41 ] |
Avis aux personnes susceptibles de partir en vacances en Italie cet été.
Que se soit sur l'autoroute ou ailleurs, si vous apercevez un chien ou un chat abandonné, envoyez sans plus attendre un sms au « 334 1051030 » en indiquant la description, la direction et le lieu. Jusqu'au 4 septembre 2011, 1 000 volontaires sont prêt à intervenir dans tout le pays.
Plus d’infos sur :
Repas des bénévoles de l’association « Assistochat » [ Date de publication : 19/06/2011 à 01h00 ] |
Merci à tous pour votre participation a notre repas organisé ce « 18 juin 2011 ».
Sauvetage d’animaux blessés ou en péril ??? Une mission d’intervention pour les sapeurs pompiers [ Date de publication : 15/06/2011 à 00h47 ] |
Afin de lever définitivement le doute concernant l’obligation ( ou non ) pour les sapeurs pompiers d’intervenir en cas de sauvetage d’animaux blessés ou en péril, nous avons le plaisir de vous confirmer qu’il s’agit bien la de l’une de leurs nombreuses obligations.
Le tatouage en France : Une méthode d’identification « toujours » reconnue [ Date de publication : 14/06/2011 à 23h57 ] |
Comme prévu depuis longtemps, la législation européenne évolue et l’identification des carnivores domestiques ...
( chats, chiens, furets, ... )
... par transpondeur remplace définitivement l’identification par tatouage.
[ Faux ]
Le méthode d’identification par tatouage reste reconnue en France et ceci même après le 3 juillet 2011.
[ Notre mise en garde ]
La plupart des vétérinaires ont mal interprétés ( plus ou moins volontairement ) la nouvelle législation en vigueur qui encadre l'identification des animaux de compagnie. Ces derniers obligent, dans le plupart des cas, la pose d’une puce d’identification ( Bien plus rentable ) et omettent systématiquement d’expliquer que cette dernière n’est obligatoire qu’uniquement en cas de sorti du territoire. Dans le cas contraire, ils n’ont donc aucune obligation de vous interdire le tatouage.
[ Explications]
Le Règlement n°998/2003 du Parlement européen et du Conseil du 26 mai 2003 précise:
Article 4
1. Pendant une période transitoire de huit ans à compter de la date d’entrée en vigueur du présent règlement, les animaux des espèces figurant à l’annexe I, parties A et B, sont considérés comme identifiés s’ils sont porteurs:
a) d’un tatouage clairement lisible, ou
b) d’un système d’identification électronique (transpondeur).
4. Après la période transitoire, seule l’option visée au paragraphe 1, premier alinéa, point b), est acceptée en tant que moyen d’identification d’un animal.
Aussi à l’approche des vacances estivales, de nombreux propriétaires de carnivores domestiques ( chiens, chats, furets ) interrogent les vétérinaires sur les conditions de circulation des animaux au sein de l’Union Européenne. Or, l’année 2011 marque un changement important puisque la période transitoire instaurée par le Règlement CE/998/2003 ( sur les conditions de police sanitaire applicables aux mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie ) arrive à échéance le 3 juillet 2011. Mais selon la lecture qui peut être faite des textes, l’identification par puce électronique peut sembler obligatoire ou non à partir du 3 juillet 2011. Pour tenter de lever le doute, l’Ordre des Vétérinaires a interrogé la Direction Générale de l’Alimentation et la Commission Européenne (DG SANCO). Voici la synthèse de leurs interprétations des textes :
- Les animaux qui seront identifiés à partir de la date du 3 juillet 2011 devront l’être uniquement par puce électronique s’ils sont amenés à voyager au sein de l’Union Européenne. Un animal qui sera nouvellement identifié par tatouage après la date du 3 juillet 2011 ne pourra pas voyager librement au sein de l’Union Européenne. Mais le tatouage restera une méthode d’identification reconnue en France après le 3 juillet 2011.
- Les animaux qui ont été identifiés par tatouage ou par puce électronique avant le 3 juillet 2011 pourront continuer à circuler librement au sein de l’Union Européenne en respectant les conditions sanitaires liées à ces déplacements ( exception faite de l’Irlande, de Malte et du Royaume-Uni qui ne reconnaissent que l’identification par puce électronique depuis déjà l’année 2003 ). Selon l’Administration ( tant française qu’européenne ), il n’est pas nécessaire que les propriétaires procèdent à une ré-identification par puce électronique de leurs animaux qui ont été tatoués avant le 3 juillet 2011.